Chères lectrices, chers lecteurs, la nation a besoin de vous et vous sera reconnaissante* !
Comme vous le savez (peut-être) j’ai actuellement 3 ouvrages en attente d’éditeur. J’ai créé pour les accompagner des pseudopropositions de couvertures (non contractuelles, rien du tout, juste parce qu’à la base je suis directrice artistique dans l’édition, donc… c’est un tropisme…)
Tout ça pour dire que, je me permets de vous mettre à contribution pour recueillir vos impressions et votes !
*(Oui, oui, on trouvera bien des médailles à vous expédier, ou un truc comme ça.)
Récit 1 : Trafiquants d’âmes
7 janvier 2015, il fait déjà nuit, Janus tourne en rond dans Paris. Il est journaliste, il ne sait pas quel acte poser pour faire face à l’actualité. Après des heures de réflexion, il décide de partir. Contrairement à son habitude, ce ne sera pas vers une zone de guerre. Il part vers Compostelle, voir et comprendre d’autres gens, et fuir des émotions qu’il ne sait pas assumer. Mais le chemin se révèle plus mystérieux et surprenant que prévu, qui sont ces étranges personnages qu’il rencontre ? Quels messages lui transmettent-ils ?
Récit 2 : Il y a un Bon Dieu pour les Anarchistes
J’ai le plaisir de vous présenter Il y a un Bon Dieu pour les anarchistes. Il s’agit de l’autobiographie d’une sorcière… Manuscrit étrange qu’il m’a été donné de trouver un soir, sur un banc, en rentrant chez moi… Il était dédicacé à, je cite, « Anne Sylvestre, Dante, Max Ernst, et tous les fantômes qui m’ont empêché d’effacer ce fichier. » Est-ce que tout cela est vrai ? Je n’en sais rien, mais en attendant je me suis laissée emporter à travers les siècles par cette folle histoire d’amour et de tendresse, de combats et de ferveur, de dignité et de passion. Je vous la partage ici.
Récit 3 : Ceci n’est pas un roman ukrainien
La narratrice, Esmée, est une Française d’origine Rrom ukrainienne, élevée dans le silence sur ses origines. Elle a été partiellement adoptée par la famille de son meilleur ami, elle aussi d’origine ukrainienne, mais juive. En pleine crise de la trentaine, elle plaque tout et part rechercher les traces de ce double génocide de Melitopol à Odessa en passant par Kyiv et Kherson.