Une clameur

« Le lien entre “la clameur de la terre” et “la clameur des pauvres” est à préciser pour montrer à quel point la mutation écologique doit être pensée à partir des exclus. Les personnes en précarité sont en effet dépositaires d’un savoir dont il serait dommage de se priver. Ce sont les plus “terrestres” d’entre nous. À leur écoute, nous pourrons renforcer les liens de fraternité et construire un projet de transition écologique juste et durable »

Frédéric-Marie Le Méhauté, Études 4287, novembre 2021, p. 81.

L’affirmation ci-dessus de Frédéric-Marie Le Méhauté, (frère mineur, œuvrant auprès des plus démunis et s’intéressant particulièrement à la parole des plus pauvres en théologie) nous invite à réfléchir à l’encyclique Laudato si’, de 2015, à partir de cette phrase si forte du Saint-Père « écouter tant la clameur de la terre que la clameur des pauvres »[1]. En effet, à la lecture de ce texte, il est clair que les solutions durables pour préserver notre planète ne pourront être uniquement politiques, scientifiques, ou populaires. Elles doivent l’être tout à la fois, et n’exclure personne, puisque « Il n’y a pas deux crises sépa­rées, l’une environnementale et l’autre sociale, mais une seule et complexe crise socio-environnemen­tale. Les possibilités de solution requièrent une ap­proche intégrale pour combattre la pauvreté, pour rendre la dignité aux exclus et simultanément pour préserver la nature. »[2]Cependant, pour comprendre au plus juste la vision papale, il est nécessaire de définir ce qu’il entend par pauvres et exclus, de prendre conscience de son appel au dialogue, et de comprendre ce que cela implique pour l’invention d’un monde futur.

Qui sont les pauvres et les exclus ?

Tout d’abord, il est important de définir précisément de quelle pauvreté, de quelle population pauvre parle le Pape dans son encyclique. En effet, une optique trop occidentale pourrait nous faire croire que cette « clameur des pauvres » est d’abord celle des personnes en situation de précarité dans nos territoires. Bien sûr, il n’est pas question de nier les difficultés de subsistance de ces personnes, de leur souci constant d’économie et de leur terreur de « la fin du mois ». Mais, à l’échelle planétaire, et même en tenant compte des difficultés de dialogue social et d’inclusion des territoires que nous connaissons, ces populations restent privilégiées. Les considérer comme les pauvres et exclus dépeints dans Laudato si’ n’est pas entièrement faux, mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un léger contre sens qui peut pousser à ne pas comprendre pleinement le message du Saint-Père.

Le message de Laudato si’ est résolument mondial, rédigé par un Pape de l’hémisphère Sud. Cet ancrage sud-américain se retrouve dans les exemples dont il se saisit : l’Amazonie, les tenants et aboutissants des sociétés gangrénées par les narcotrafics… La vision du monde de François est donc très au fait de ce qu’est l’extrême pauvreté et ses réalités. L’extrême pauvreté, telle que définie par l’ONU dans les objectifs du millénaire, touche 783 millions de personnes sur terre (chiffre de 2020) vivant avec moins de 1,90 $ par jour.

Ces populations sont exclues pour une grande part de tous droits humains fondamentaux, y compris de leurs propres libertés personnelles. Comme le rappelle François, l’esclavage ou le quasi-esclavage demeure une problématique contemporaine, ainsi que plus largement l’exploitation de l’Homme par lui-même et la course au rendement et à la productivité de tout être.

Laudato si’, paragraphe 123 : « La culture du relativisme est la même pathologie qui pousse une personne à exploiter son prochain et à le traiter comme un pur objet, l’obligeant aux travaux forcés, ou en faisant de lui un esclave à cause d’une dette. C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants ou à l’abandon des personnes âgées qui ne servent pas des intérêts personnels. »

De même que l’accès à la citoyenneté, au soin, à des infrastructures de bases est souvent très discutable. On pense notamment à la situation des populations d’Amazonie, ou Aborigène d’Australie, que les gouvernements ignorent ou traitent avec un mépris à peine déguisé. Mépris généralisé par tous ceux qui consomment à outrance vis-à-vis de ceux qui n’en ont pas les moyens, comme exprimé au paragraphe 90 : « Nous continuons à admettre en pratique que les uns se sentent plus humains que les autres, comme s’ils étaient nés avec de plus grands droits. »

Comme nous le rappelle le Pape, ce sont ces populations extrêmement modestes, et peu ou pas incluses par leurs états, qui sont les premières touchées par les changements climatiques, qui les privent de moyen de subsistance en détruisant l’écosystème dont elles tirent leur subsistance.

Laudato si’, paragraphe 25 : « Beaucoup de pauvres vivent dans des endroits particulièrement affectés par des phénomènes liés au réchauffement, et leurs moyens de subsistance dépendent fortement des réserves naturelles et des services de l’écosystème, comme l’agriculture, la pêche et les ressources forestières. Ils n’ont pas d’autres activités financières ni d’autres ressources qui leur permettent de s’adapter aux impacts cli­matiques ni de faire face à des situations catastro­phiques, et ils ont peu d’accès aux services sociaux et à la protection. »

Les exemples en sont nombreux : pêche artisanale rendue impossible par la surpêche et la présence incessante de détritus plastiques dans les océans ; petites exploitations agricoles à la terre rendue aride par manque de pluie et d’irrigation, ou tout simplement annexées par des exploitations extensives qui renforcent encore la pollution et l’appauvrissement des ressources ; disparition de l’habitat suite à des catastrophes naturelles ; exode rural qui engorge encore des villes surpeuplées et surpolluantes en proie à la violence et à la corruption des représentants du droit ; migrations au risque de leurs vies les condamnant parfois à l’esclavage, souvent à un extrême dénuement et l’absence totale d’aide et de reconnaissance étatique… On voit bien dans quel cercle vicieux l’humanité se trouve, que le Saint-Père explicite tout au long de son texte.

Les problèmes de ces populations, l’aspect social de la pensée écologique, reste peu ou pas pris en compte par les sphères politiques, et encore moins par les pouvoirs économiques.

Laudato si’, paragraphe 49, François avance des mots très forts : « Aujourd’hui, ils [les plus pauvres] sont présents dans les débats politiques et économiques internationaux, mais il semble souvent que leurs problèmes se posent comme une question qui s’ajoute presque par obligation ou de manière marginale, quand on ne les considère pas comme un pur dommage collatéral. »

Ce sont donc de ces pauvres-ci, ignorés de pratiquement tous, survivant dans des conditions souvent inhumaines, que le Pape nous appelle à entendre, accueillir et écouter en priorité, dans un sentiment de communion renouvelé et un amour fraternel[3]. Bien entendu, cela n’exclut en rien d’adopter la même attitude envers le reste des populations pauvres, précaires et socialement exclues, qui elles aussi, offrent de grandes leçons d’humanité et de partage, que Frédéric-Marie Le Méhauté évoque dans la suite de son article.

La nécessité de dialogue et d’inclusion

L’encyclique, comme le souligne Frédéric-Marie Le Méhauté, est on ne peut plus orientée vers le dialogue. Celui-ci est nécessairement multipartite, dans la mesure où il porte sur les questions d’écologie et de réformes sociales, domaines dont les considérations et décisions locales concernant la sauvegarde de la maison commune ont obligatoirement des répercussions planétaires. Comme toute évidence, il n’y a pas de préjudice à le rappeler, à le marteler, même, comme le fait le Pape en répétant plus de dix fois que « tout est lié » et en appelant tout autant au dialogue.

L’intégralité de la Création est unie par des liens d’interdépendances, suivant un schéma d’amour trinitaire qu’il nous faut retrouver : amour de Dieu (ou plus généralement d’une notion de transcendance), amour des Hommes, amour de la Nature. À la perte d’un seul de ces piliers, c’est l’édifice entier qui se fragilise.

Laudato si’, paragraphe 119 : « En effet, on ne peut pas envi­sager une relation avec l’environnement isolée de la relation avec les autres personnes et avec Dieu. Ce serait un individualisme romantique, déguisé en beauté écologique, et un enfermement asphyxiant dans l’immanence. »

Tout comme « science sans conscience n’est que ruine de l’âme », nous constatons aujourd’hui que le progrès technique sans progrès moral et social mène à la catastrophe. Il s’agit, donc, « d’unir toute la famille humaine dans la recherche d’un dévelop­pement durable et intégral » comme le formule le Saint-Père au paragraphe 13 de Laudato si’.

Ce dialogue, nécessaire pour trouver des solutions à la crise climatique et écologique que nous vivons, doit réunir les scientifiques, les politiques, mais aussi les chefs spirituels dans une dynamique clairement œcuménique voire interreligieuse. Cela, afin de sortir des diverses impasses constatées jusqu’ici. D’une part, le progrès technique irraisonné qui conduit à la détérioration des conditions de travail de nombre d’humains, les remplaçant par des machines ou les soumettant à des machines. Ce même progrès technique qui pour des raisons mercantiles a ancré une pensée du développement humain orientée sur la surconsommation, remplaçant les libertés humaines par une liberté de consommer[4]. Il est intéressant, d’ailleurs, de relire ce passage à l’aune de la situation pandémique actuelle, où nous avons vu un nombre important de personnes manifester violemment contre les restrictions d’accès aux commerces et bien peu concernant les restrictions appliquées aux structures culturelles.

Cette culture consumériste s’est également implantée dans le domaine politique, où les solutions ne sont plus pensées qu’en termes d’immédiateté, de pensée limitée à la durée d’un mandat électoral, et non tournées vers la pérennité[5].

D’autre part, enfin, la vision fautive parfois propagée par les religions, de possession de la Terre par l’homme est à déconstruire dans ce dialogue.

Laudato si’, paragraphe 116 : « Un rêve prométhéen de domination sur le monde s’est sou­vent transmis, qui a donné l’impression que la sau­vegarde de la nature est pour les faibles. La façon correcte d’interpréter le concept d’être humain comme “seigneur” de l’univers est plutôt celle de le considérer comme administrateur responsable. »

Pour ce faire, comme y invite le Patriarche Bartholomée, cité par le Pape François au paragraphe 8 del’encyclique, il est important de réveiller les consciences en rappelant qu’agir à l’encontre du bien de la planète revient à agir contre le bien des frères et sœurs humains, et revient donc à pécher. Force est de constater que le Pape ne se limite pas à prêcher le dialogue, il en est lui-même l’acteur, comme en témoigne le grand nombre de citations de ses prédécesseurs, de conférences épiscopales, d’autres traditions chrétiennes, mais aussi de données scientifiques. 

Au sein de ce dialogue, que l’on pourrait qualifier de pluridisciplinaire, une attention particulière doit être apportée au dialogue des cultures. En effet, comme le Saint-Père l’écrit au paragraphe 63 : « les solutions ne peuvent pas venir d’une manière unique d’interpréter et de transformer la réalité » Que ce soit pour œuvrer à la sensibilisation écologique, ou pour trouver des solutions de développement durable, ou encore pour mieux nous aider à dialoguer et faire communion, les arts, les penseurs, les traditions populaires sont à convoquer et préserver. D’une part, certaines de ces cultures marginales, qui ne subsistent aujourd’hui que chez certains peuples sont, tout comme eux et leur habitat, en voie de disparition. La perte de ces sagesses ou savoir-faire millénaires est une perte pour l’humanité tout entière qui est déjà — par le fruit d’un progrès mercantiliste et surconsommateur — sur la pente de l’homogénéisation culturelle, qui n’aide en rien au dialogue, au respect des personnes ou de la nature.

Dans cet attachement au dialogue comme source d’unité dans la diversité et le respect, le Pape s’inscrit dans la droite ligne à la fois de Saint François et de son respect admiratif pour toutes parties de la création ; mais aussi des textes onusiens qui déclarent œuvrer pour la préservation de la diversité humaine, pour les droits et le respect de tous.

Quelle sagesse bâtir ensemble ?

Le dernier point soulevé par Laudato si’, ainsi que Frédéric-Marie Le Méhauté, est, donc, la question de cette co-construction d’un nouveau développement à visage humain, qui sera le fruit du dialogue avec les plus pauvres.

Dès le début de son encyclique, le Pape nous exhorte à nous réorienter vers un développement du bien commun, « vers le développement humain, durable et intégral. »[6] ainsi qu’à sortir de la « culture du déchet » (paragraphe 22). Cela passe par une nécessaire conversion à l’écologie humaine, bien sûr, par le dialogue, évoqué plus haut, et par une réévaluation de nos pratiques consuméristes. Sur ce dernier point, on entend souvent dans le débat politique actuel, en France (et plus largement dans les pays du Nord), que penser à l’écologie en consommant est un luxe que les plus pauvres ne peuvent pas se permettre. Il est évident que la plupart des biens de consommation les plus abordables sont effectivement, encore aujourd’hui, le fruit de manufactures polluantes sous divers points : utilisation de la pétrochimie, usines polluantes, trajets insensés entre le lieu de production et le lieu de consommation… sans aborder la question de l’éthique de production, souvent inexistante : travail des enfants, aucune protection sociale ni sanitaire des travailleurs… Consommer local, éthique et durable est encore un luxe pour bien des domaines. Le discours politique tend à reporter la responsabilité sur les consommateurs eux-mêmes, qui se détournent donc radicalement des questions écologiques, qu’ils ne font plus leurs. On a pu observer cette attitude au sein du mouvement des gilets jaunes, par exemple. Cependant, et François le souligne dans Laudato si’ !, il serait bien plus juste d’apprendre des conditions de vie des plus défavorisés pour créer des produits qui leur correspondent, tout en étant viables pour la planète, au lieu de les exploiter pour toujours plus de profit, en dégradant leurs conditions de travail, de vie, et leur offrant des produits écologiquement aberrants. C’est donc au pouvoir industriel et économique de se saisir de ces questions, de se réformer en profondeur sur ces questions environnementales.

Laudato si’ !, paragraphe 56 : « Pendant ce temps, les pouvoirs économiques continuent de justifier le système mondial actuel, où priment une spéculation et une recherche du re­venu financier qui tendent à ignorer tout contexte, de même que les effets sur la dignité humaine et sur l’environnement. (…) Voilà pourquoi aujourd’hui “tout ce qui est fragile, comme l’environnement, reste sans dé­fense par rapport aux intérêts du marché divinisé, transformé en règle absolue”. »

Bien entendu, depuis la parution de l’encyclique (2015), certaines choses ont changé. Et les conclusions mitigées de la COP26 ont motivé un certain nombre d’entrepreneurs à trouver des solutions plus audacieuses que celles portées par les politiques. Reste à espérer que cette dynamique s’ancre sur le long terme et ne constitue pas un simple effet d’annonce et de verdissement mercatique.

Pour bâtir dans le dialogue, le Saint-Père nous donne plusieurs exemples, il est nécessaire de s’inspirer des bonnes pratiques portées par les quartiers défavorisés et la société civile dans son ensemble. Dans le domaine agricole, il s’agit par exemple de favoriser les productions locales, diversifiées et à taille humaine. Ce constat établi par la communauté scientifique depuis plusieurs années, et repris dans plusieurs paragraphes de l’encyclique. Il s’agit que « Celui qui s’approprie quelque chose, [le fasse] seulement pour l’administrer pour le bien de tous »[7] et ainsi trouver « La li­bération par rapport au paradigme technocratique » dans une « authentique humanité »[8]. François ne souhaite pas pour autant une décroissance et un retour « à l’époque des cavernes »[9], il valorise les progrès technologiques « Nous ne pouvons pas ne pas valoriser ni apprécier le progrès technique, surtout dans la médecine, l’ingénierie et les communications. »[10]. Son appel est celui de la remise de l’humain au cœur du système. Comme il l’évoque dans les paragraphes 148 et 149, même dans les quartiers les plus insalubres, victimes d’une grande pollution et d’une surpopulation malsaine, un sentiment de communauté et d’appartenance parvient encore à se tisser, preuve que l’élan de fraternité subsistent encore et toujours. Enfin, les solutions plus durables peuvent émaner des cultures locales[11]. Je pense, par exemple, au remplacement possible des récipients en plastique en relançant la production traditionnelle de récipients de terre ou à partir de calebasses dans les pays d’Afrique subsaharienne.

En ce qui concerne le rôle des ONG et de la société civile dans son ensemble, le Pape souligne la nécessité d’éducation à la citoyenneté écologique, en développant « [d]es itinéraires pédagogiques d’une éthique écologique, de manière à faire grandir effectivement dans la solidarité, dans la responsabilité et dans la protection fondée sur la compassion »[12] que ce soit en sensibilisant les consommateurs, ou en faisant la promotion de bonnes pratiques de production, de recyclage, de gestion des ressources… Afin de sortir de l’information pour « développer des habitudes »[13] et de sensibiliser au mieux les populations, qui pourront ainsi influer de manière plus avisée sur leur environnement et sur les politiques publiques.

Laudato si’, paragraphe 179 : « La société, à tra­vers des organismes non gouvernementaux et des associations intermédiaires, doit obliger les gouvernements à développer des normes, des procédures et des contrôles plus rigoureux. »

En résumé, le Pape François nous appelle, tous et chacun, afin de trouver des solutions qui peut-être « ne résolvent pas les problèmes globaux, mais elles confirment que l’être humain est encore capable d’intervenir positivement. Comme il a été créé pour aimer, du milieu de ses limites, jaillissent inévitablement des gestes de générosité, de solidarité et d’attention. »[14]. En bâtissant un avenir commun, dans le dialogue, c’est une fraternité nouvelle que nous bâtirons, comme le souligne Frédéric-Marie Le Méhauté, puisqu’à l’image des enseignements du Christ, nous pratiquerons la compassion, la tendresse, l’attention aux plus faibles, et vivrons dans Sa Paix.

En conclusion, l’appel du Saint-Père au dialogue, à se rapprocher des plus pauvres et des plus terriens, soulevé par Frédéric-Marie Le Méhauté dans son aspect de fraternité, nous engage surtout à suivre l’exemple de Saint François d’Assise, dans la « protection de ce qui est faible et [dans] une écologie intégrale, vécue avec joie et authenticité »[15]. Il s’agit d’entendre à nouveau, et de mettre en pratique, la formule de Saint Jean-Paul II : « Dieu a donné la terre à tout le genre humain pour qu’elle fasse vivre tous ses membres, sans exclure ni privilégier personne », dans sa Lettre encyclique Centesimus annus (1991) citée dans Laudato si’ au paragraphe 93. Ce cri pour une « fraternité générale[16] » est à la fois l’expression des valeurs chrétiennes, mais aussi aujourd’hui celui de l’ensemble d’une humanité désirant sauver sa maison commune.


[1] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 49

[2] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 139

[3] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 128

[4] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 203

[5] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 178

[6] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 18

[7] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 95

[8] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 112

[9] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 114

[10] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 102

[11] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 144

[12] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 210

[13] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 211

[14] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 40

[15] Lettre encyclique Laudato Si’, paragraphe 10

[16] Pour reprendre le nom du mouvement laïc et républicain fondé, en 2015 également, par Abdennour Bidar et Fabienne Servan-Schreiber, dans l’espoir avoué de promouvoir et bâtir une société plus inclusive et solidaire, en d’autres termes pour « assainir toutes les relations fondamentales de l’être humain » comme le formule le Pape au paragraphe 119 de l’encyclique.

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